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28/12/2021. Il est peu plus de trois heures du matin, j'abandonne mon américain dans ma chambre d'hôtel. C'est un grand colosse avec une tête de bébé. Ma nuisette colorée couvre à peine mon corps, enfin plutôt une longue chemise transparente achetée pas cher à Playa del Carmen quelques jours plus tôt. Je n'arrive pas à dormir, il fait pourtant presque frais mais mon sang bout. La soirée arrosée au mescal et les tacos épicés m'ont foutu le feu aux globules. Mon américain trouvé au bar en début de soirée était trop saoul pour arriver à évaporer la lave perverse coulant dans mes veines. Il n'y a personne au bar, les chaises suspendues comme des balançoires sous les palmes sont immobiles. Je jette un oeil au cas où une bouteille traînerait. La piscine toute bleue est d'huile. Je m'assois sur le bord et trempe mes pieds. Un léger sursaut, l'eau semble froide, puis finalement me fait beaucoup de bien. Je rêvasse les bras tendus le long du corps en agitant lentement mes jambes dans l'eau qui s'anime en ondes scintillantes sous l'effet des spots. Tout le travail que nous avons à faire ces jours ci prend le dessus de mes pensées. Saleté de mescal! Il n'y a pas un brin d'air mais il fait frais. Je suis à la fois hypnotisée par la couleur de l'eau et omnibulée par le travail quand j'entends grattement de gorge. C'est mon américain qui arrive tout souriant et bien lucide. Ses yeux pétillent en me regardant. Il me demande si je vais bien. Une conversation un peu irréelle s'installe où il est d'une extrême prévenance et moi moi plutôt incisive et allumeuse. Il est accroupi proche de moi. Je sens du désir dans ses yeux. Je lui dis que j'ai soif. Il se lève et fait comme moi auparavant, il cherche si une bouteille traînerait au bar et revient l'air désolé. Il est debout à côté de moi et moi assise sur le bord de la piscine. Je vois son sexe gonflé dans son short. Il me dit des mots gentils et prévenants. "miss I did not find anything to please you"
Je le trouve un peu bizarre. Je sors mes jambes de la piscine, me mets à genoux devant lui, lui baisse son short et là je découvre un magnifique sexe tendu. Mince! Ce n'est pas mon américain, ce n'est pas le même sexe. Mon dieu c'est un autre homme ! Il n'est pas question de changer d'attitude. Je continue dans mon élan et j'enfourne dans ma bouche son membre dilaté. Il a d'énormes bourses, je m'emploie avec une ferveur hystérique. Il me masse les épaules en poussant de petits cris de plaisir. Je finis par me relever, il me dépasse de deux têtes. Je lui lance " fuck me". Je me retrouve décollée du sol dans ses bras. Il me porte jusqu'aux chaises balançoires, m'assoie dessus, il me tient par la nuque d'une main et m'enfourne de face sans ménagement. Je suis aux anges. Sont sexe me dilate à merveille, il fait de longs va et vient à la fois doux et virils. L'alcool encore dans mon sang aidant je jouis dans des cris de chatte en chaleur. Ses yeux sont pleins d'attention mais ses gestes sont passionnés. Ma copine Claude arrive à la fois endormie et affolée d'entendre mes cris. Elle s'arrête de l'autre côté de la piscine et voyant la scène, elle éclate de rire. Mon partenaire me prend dans ses bras. Je n'ai plus touché le sol depuis un moment. Il me porte jusqu'à sa chambre dont la baie vitrée est ouverte, il me couche sur le lit et... Il m'est difficile de décrire la suite. Je suis tombée de sommeil après de multiples orgasmes et mon visage couvert de sperme. Quand nous nous sommes réveillés j'étais dans ses bras. Je lui ai raconté ma méprise et pourquoi j'ai été si entreprenante. Nous avons bien ri. Je suis rentrée à ma chambre en milieu de matinée. Mon premier américain ronflait affalé sur le lit, son sexe en érection. Oui je sais, je finirai brûlée dans les flammes de l'enfer mais j'en ai profité encore. C'était tout de même bien moins bon qu'avec l'autre.
Claude m'a traitée de salope durant deux jours. Très affectueusement bien sûr.