Un gang-bang mémorable
Ca se passe à Lille en avril 2012. Dans un lieu appelé Le Cube : un sex-shop ouvert à toutes tendances sexuelles avec backrooms, glory holes, sling et tout le tremblement. C'est un jeudi d'avril pluvieux… je m'ennuie un peu pendant mes congés… je décide d'aller y faire ma petite pute comme j'ai souvent l'habitude d'aller faire là-bas. Il y a pas mal d'habitués que je connais. J'ai la réputation déjà établie de trav plutôt populaire dans le club, avec une non moins réputation de cochonne intégrale. Deux bonnes heures sont passées et j'ai déjà consommé 4 ou cinq queues. Je remarque tout de même que la pluie a amené pas mal de monde dans le club vers 17h. Comme j'ai toujours 2 tenues, car je passe plusieurs heures voire même la soirée au Cube à l'époque, je profite de passer au vestiaire pour enfiler ma seconde tenue : celle de l'écolière. Avec une jupe schoolgirl de sex-shop hyper mini et chaussettes hautes blanches. Je serais ressortie cul nu, c'était pareil… Alors que je me dirige vers le grand backroom, je constate que ma tenue de petite salope fait de l'effet. Il faut que je descende au sous-sol par un escalier en colimaçon (qui donne une vue superbe d'en bas sous ma jupe), puis que je traverse intégralement un couloir de 30 mètres pour accéder à un grand backroom au confort spartiate, avec une malheureuse chaise… qui va beaucoup servir par la suite. Pendant toute cette traversée, des regards me fixent avec envie et des mains baladeuses frôlent mon popotin. Une fois au backroom, je prends ma position pute : adossée au mur en attendant le client ! J'ai en fait à peine le temps de m'adosser que déjà 3 types qui m'avaient suivi commencent à me peloter les seins, le clito, les fesses. Puis je me mets à les sucer. Je constate par contre de plus en plus de monde dans le backroom. Les incontournables voyeurs ! Du moins, je le pensais. Et puis, ça va très vite, en position d'équerre, je me retrouve penchée avec une queue dans la bouche, un mec qui s'accroupit pour me sucer le clito, et une queue qui me pénètre après m'avoir sommairement lubrifié la rondelle. Le mec que je suce est assez vicelard et après quelques insultes de lieux communs, il me lance : - « T'aimes ça la bite ! Hein ? Chienne ! T'aimes bien avoir des queues dans tous tes trous ! N'est-ce pas grosse pouffiasse ? ». J'acquiesce de gémissements étouffés par sa grosse bite qu'il me fait gober à fond. Puis, d'un coup, il la retire et me tourne la tête vers le backroom : c'est blindé de mecs qui se masturbent en me regardant. Il me lance alors : - « T'as envie hein, salope, de te faire baiser par tous ces mecs ? Allez ! Dis que tu as envie ! Sale pute ! ». Et moi, dans le feu de l'action, sans y croire un instant, mais juste pour exciter et défier le mec, je réponds en criant : - « Oh oui !!! Baisez-moi tous ! Je suis une petite pute qui est venue se faire tirer ! Oh oui ! Je veux de la bite dans mon cul ! Et du foutre dans ma bouche ! » Je n'imagine pas que j'ai engrangé un plan « abattage » de grande envergure dont je suis le plat de résistance ! J'avais à peine dit ça que mon enculeur avait laissé place à un autre. Mon vicelard, lui, faisait une pause en passant le relais à un autre. Puis, il encourageait les types attroupés à me baiser : - « Allez-y les mecs ! C'est une chienne ! Elle est bonne ! » Le mec gicle rapidement dans ma bouche pendant qu'un 3eme enculeur, fortement membré celui-là, part en plus sur un rythme très soutenu. Et moi, hyper excitée, je crie : « Oh oui ! Encore ! Je veux du sperme ! Je veux de la bite ! Baisez-moi tous ! » Qu'est ce qui me prend de dire ça ? Je n'en sais rien ! Excitée comme une bonne chienne, je jouis dans la bouche de mon suceur qui m'avale tout mon jus. Je titube presque. C'est alors que mon enculeur, pour être plus à l'aise… et peut-être par pitié pour moi (hi !hi !), me fait accroupir sur cette vieille chaise. Et ça continue dans cette position. Combien je prends de bites ? Je ne compte plus. Tout ce que je sais, c'est que dès qu'une se retire, une autre rentre. Que ça soit par le cul ou par la bouche. A un moment, je sens couler quelque chose le long de mes cuisses. A mon avis, certains ne mettent même plus de capotes. Je panique !... mais en même temps, je n'ai pas envie que ça s'arrête. Je suis en train de me faire gang-banger, comme dans les films pornos que je regardais en vidéo et où je fantasmais d'être à la place de la fille. Sauf que ce n'est plus du rêve : c'est réel ! A un moment, je remarque de moins en moins de monde. Le backroom se vide. Je demande aux 4/5 derniers mecs qui sont là d'éjaculer sur mon visage et sur mon cul. Je suis quand même une sacré salope ! Ils s'exécutent et comme ils jouissent abondamment, j'ai la face et le cul couverts de sperme frais. Je demande l'heure à l'un des derniers convives qui, gentiment, m'aide à me relever : il est presque 19h20. J'ai passé plus de deux heures à me faire baiser sans arrêt. L'homme m'aide à m'essuyer car je suis ruisselante de sueur et de foutre. Et il me raccompagne courtoisement vers les toilettes, où je vais finir de me nettoyer. Sur notre passage, des sourires et même des mercis pour le moment passé. Mon égo est élevé à ce moment là : je suis une porn star ! Je repense souvent à ce jour là : pourquoi ce jour-là ? Pourquoi ni avant, ni après ? Je pense souvent à ces chanteurs qui sortent de nulle part, font un tube phénoménal, puis disparaissent. Je suis arrivé au bon moment, au bon endroit, avec le bon produit. Faut pas chercher à comprendre, en fait ! C'est vrai que j'aurais pu me choper une saloperie. Je n'ai pas été sereine pendant 6 mois. Mais je n'ai rien eu et depuis ce jour, la capote est obligatoire à moins de montrer patte blanche. Le positif du plan a finalement été retenu : j'ai vécu un authentique GB. Il m'est arrivé depuis de me faire baiser par 3 ou 4 mecs à la fois… mais jamais comme ce jeudi d'avril 2012 !
